Intervention(s)
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Biographie
Tout juste diplômé de l’Ecole polytechnique, j’ai passé une part importante de mes études à m’engager pour l’écologie et la justice sociale. J’ai notamment été très engagé au sein du collectif Pour un réveil écologique : un mouvement lancé en septembre 2018 après la signature par plus de 30 000 étudiants d’un manifeste dans lequel nous nous engageons à choisir nos employeurs en fonction de critères sociaux et environnementaux. Depuis bientôt quatre ans, j’ai contribué à porter la voix des étudiants et jeunes diplômés auprès de décideurs économiques, politiques et académiques.
Pourquoi acceptez-vous de participer à un sommet sur la bienveillance ?
La mutation écologique de nos sociétés nécessite des changements de nos modes de vie et de nos structures économiques et politiques, mais elle doit être pour cela motivée par des convictions intérieurs et des motivations culturelles. La bienveillance, le partage, la priorité donnée à la relation vont devoir prendre le dessus sur l’individualisme, le consumérisme ou la quête de pouvoir qui caractérisent nos sociétés. C’est en remontant à des questions plus essentielles que nous parviendrons à réaliser la transition écologique.
Quel acte de bienveillance aimeriez-vous partager ?
Le fonctionnement des collectifs d’étudiants et de jeunes diplômés auxquels j’ai la chance de participer repose sur la bienveillance. Nous expérimentons à notre échelle des nouvelles formes de gouvernances, avec des responsabilités croisées et une confiance mutuelle, permettant à chacun de s’épanouir dans ses engagements.